Jour 21

L’état des pistes a éprouvé non seulement nos ardeurs physiques mais également les véhicules.
La poussières, les ornières et les nombreux « nids de vaches » perdurèrent durant les 3 jours de traversée de la Guinée. Une fois de plus nous fûmes étonnés par la qualité des mécaniciens africains que ce soit à Labé ou à Mamou, les réparations devraient tenir (comme on dit ici si Dieu le veut) jusqu’à Bamako. La beauté des paysages nous font oublier la fatigue et les problèmes mécaniques.